Issu de la caste des forgerons, il perpétue par tradition le langage du djembé, qu’il manie avec virtuosité et inventivité.
Yéléna offre une musique variée, alliant les racines mandingues aux compositions originales de Karamoko Koné et Paul Sidibé (chanteur du groupe).

danseuses et musiciens. Témoin de l’évolution constante du groupe, on pourra apprécier dans le 2ème CD, aux côtés des percussions toujours plus détonantes, la douceur du Kamele n’goni et du Balafon, ainsi que le touche singulière apportée par le saxophone.

Carine et Amélie forment le duo féminin du groupe. Elles assurent les cœurs, la chorégraphie et jouent du Jabara. Elles ne se contentent pas d’accompagner les percussionnistes : leurs danses sont une réponse à la musique et leurs chorégraphies, viennent compléter le tableau scénique. "le djembé est visuel, c’est un dialogue entre les percussionnistes et les danseuses."
Trois toulousains, non-africains font aussi partie du groupe : Frédéric Diaz, Stéphane Perruchet et Loïc Farge. Ils ont séjourné en Afrique pour apprendre auprès des gardiens de la tradition l’art et le langage du djembé. L’absence de partitions n’est pas pour eux un handicap car disent-ils : "Le djembé ne se lit pas, l’art musical du djembé est basé sur l’écoute, c’est une question d’oreille, d’attention."